• Mes parents portent plainte alors que leur slogan était "il est interdit d'interdire"

    Mes parents portent plainte alors que leur slogan était "il est interdit d'interdire"

    Les articles de ce blog ont été supprimés car ma génitrice a porté plainte contre moi et me réclame 15 000 euros de dommages et intérêts. Mon géniteur a également porté plainte auprès du Procureur de la République, avec un dossier à charge contre moi d'environ 300 pages, ce qui m'a valu une convocation à la gendarmerie avec prise d'empreintes digitales.

    J'ai déjà eu deux visites d'huissiers, et reçu environ 300 autres pages d'un dossier dressé à charge contre moi, défendu visiblement par l'un des meilleurs avocats du Barreau de Paris, Maître Denis Laloux. Je ne sais absolument pas si mes deux parents se sont donnés le mot et ont décidé d'agir conjointement contre moi, ou si cette coïncidence est le fruit du hasard. 

    Je n'ai jamais eu beaucoup de contacts avec ces deux personnalités toxiques, même étant tout petit enfant, car déjà "ils refusaient le dialogue". Et aujourd'hui évidemment encore moins qu'auparavant, pour la raison que j'ai publié sur eux, et que mon crime est de dire ma vérité sur les deux personnages odieux qu'ils constituent. 

    Je n'ai jamais vu en eux beaucoup de traces d'humanité, par contre ils ont toujours fait confiance à l'argent au détriment de l'esprit.

    "Elle" est visiblement décidée à me détruire matériellement, ma famille et moi, y compris ses trois petites-filles pour lesquelles elle n'éprouve absolument aucune émotion, ni sentiment... Tout cela parce que je refuse que soit dilapidée la transmission familiale de mes grands-parents maternels, les seules personnes avec mes grands-parents paternels d'ailleurs, qui aient éprouvé des émotions humaines à mon égard.

    Je suis convoqué le mercredi 17 janvier 2018 à 9h30. Devant le Président du Tribunal de Grande Instance de Paris. A l'audience de Cabinet de Madame Palti Vice-Présidente

    Palais de Justice 4, boulevard du Palais, 75001 PARIS.

     

    Nous sommes en pleine campagne #balancetonporc, n'oublions pas non plus que certains parents se sont comportés comme des porcs avec leurs enfants, avec des conséquences encore plus graves sur leur psychisme, car il était en construction, que sur celui des femmes victimes de violences. N'oublions pas non plus que des femmes peuvent se rendre coupables sur leurs enfants de violences physiques ou psychologiques tout aussi répréhensibles que celles qu'elles subissent de la part des hommes...

     

    Dans l'esprit de ma génitrice, il semblerait dans ce pays que les mères aient le droit de priver leurs enfants de soins, ensuite de les priver de liberté d'expression lorsqu'ils s'en plaignent, et enfin parce qu'elles ont pris l'habitude en tant que femmes d'être toujours traitées en victimes ayant tous les droits vis-à-vis des hommes, de toucher de la part de ces hommes de l'argent, que ce soit sous la forme de dommages et intérêts ou autres.

    Même si l'homme en question (moi), fut toujours maltraité par cette mère que je qualifie d'indigne, et je renvoie aux travaux de Boris Cyrulnik pour se faire une idée des dommages psychologiques et physiologiques entraînés par l'absence de soins d'une femelle sur ses petits ou d'une mère sur son/ses enfant(s). Le paradoxe dans tout ça étant que la dite mère fut une "spécialiste" (quelle rigolade !) des soins à apporter aux enfants pour qu'ils s'épanouissent, notamment par sa fonction de psychologue. Comme dit si bien le proverbe : "les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés."

    C'est malheureux quand même que mes parents soient dans les faits mes pires ennemis malgré leurs dénégations. Nietzsche le dit dans Aurore, l'enfant est toujours le bouc émissaire de la relation parentale et cela absolument toujours à un plus ou moins grand degré, en réalité absolument toujours puisque la guerre des sexes est ce qui fait tourner le monde. Avec moi ils ont mis le paquet, pour se protéger aussi chacun de son côté. Malgré ce dernier aspect d'autoprotection je ne leur trouve aucune excuse, et particulièrement concernant ma mère. Car tout comme la violence faite aux femmes, la violence psychologique de ma mère à mon égard quand j'étais un tout petit enfant est abjecte et ne comporte aucune circonstance atténuante. Ensuite face à l'adulte que je suis devenu, le "mâle blanc", elle dira que c'est moi qui lui "fait peur" ! Quelle lâcheté et quel retournement à son avantage de la Réalité, qui est effectivement toute autre, puisque dans la genèse de notre relation, c'est moi qui fut victime lorsque j'étais enfant. Autre élément de la genèse, je veux bien admettre que mon père ait persécuté ma mère, ce qui explique que j'aie servi à cette dernière de défouloir !

    Voilà pour conclure, j'en reviens toujours à la relation à mes parents qui est chez moi une souffrance inexpugnable, car ils sont allés beaucoup trop loin dans la cruauté, pour que cela soit humainement acceptable. Je ne parlerai pas ici des conséquences d'une telle relation sur ma vie privée et professionnelle, il y aurait pourtant beaucoup à dire... 

     


  • Commentaires

    1
    Jeudi 26 Mars 2020 à 09:41

    Bonjour monsieur Woun

    J'ai lu votre billet et je trouve cela de la part des parents pas bien sincère ,vis-a vis d'un de leur proche ,l'argent ne fait pas le bonheur ,a partir de détruire une famille ...Je vous souhaite un grand courage en ce préservant de sa santé ..

    Je vous demande ,l'autorisation si cela étant possible de passé ce billet sur mes blogs pour faire comprendre que dans la vie tout des possible pour détruire un lien du sang ..

    Merci et bonne journée ...

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